• Promenons-nous dans la Vallée de la Lévrière

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Introduction

Cette vallée a bien des attraits. Tout d’abord un intérêt esthétique indéniable dû à son relief offrant des dénivelés qui peuvent atteindre plus d’une centaine de mètres entre le lit de la rivière et les plateaux dans lesquels elle a creusé sa course.

La forêt de Lyons où la Lévrière prend sa source est tout un monde végétal vivant et changeant, souvent traversé ou bordé par ce cours d’eau, tantôt serein, tantôt rapide, possédant, tout comme la forêt, une flore et une faune qui lui sont propres.

La faune est riche. Il est fréquent de rencontrer des cervidés, des écureuils, des lapins, des ragondins, plus rarement des renards, des fouines et même des sangliers, plus discrets, mais qui laissent un peu partout les traces caractéristiques de leur fouissage (boutis).

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Galerie Photo

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Sélection de promenades

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Qui suis-je ?

Par tous temps et en toutes saisons, pendant plus de dix-huit ans, j’ai sillonné la vallée de la Lévrière, longeant ses rives, gravissant ses versants, parcourant les plateaux qui la bordent, foulant ses nombreux sentiers, parfois, crapahutant sur le mode hors-piste avec le secours d’une boussole et même d’une lampe.

A l’instar du célèbre auteur des Rêveries du promeneur solitaire j’ai agrémenté ces parcours par l’observation de nos amies les plantes et il m’arrive de ressentir une certaine émotion lorsqu’elles sont rares, inconnues ou, tout simplement, belles.

Parfois rêveur mais jamais solitaire grâce à la compagnie de ma chienne fidèle (lévrière de race, comme il se doit). Il en est résulté une sélection de promenades qui ont figuré plusieurs années sur le site de l’ASALF. Tel un phénix renaissant de ses cendres, les voici à nouveau, « revisitées » et complétées. Lorsque vous les découvrirez je vous souhaite d’avoir autant de plaisir que j’en ai eu en les parcourant.

Jean Fris-Larrouy, novembre 2016